L’histoire se met aussi en œuvre dans des expositions temporaires ou permanentes. Oram peut
- Conceptualiser et scénariser un projet d’exposition ;
- Rechercher et sélectionner les documents et objets à exposer ;
- Contribuer à la mise en scène ;
- Rédiger les notices descriptives et réaliser un catalogue.
REFERENCES
Dans le cadre de la collaboration des historiens d'ORAM avec l'AVAE :
- Pour AG Insurance, réalisation de vitrines permanentes évoquant les différents métiers de l’assurance;
- Pour BNP Paribas Fortis, réalisation de vitrines permanentes qui rassemblent des pièces provenant des différentes banques dont elle est issue;
- Pour BNP Paribas Fortis, contribution à une exposition consacrée à la construction du chemin de fer Pékin-Hankou;
- Pour GDF Suez, montage de l’exposition « Scripta volant », consacrée à l’émission et l’impression d’actions et d’obligations de sociétés (scriptophilie);
- Pour GDF Suez, réalisation d’une exposition photographique sur l’histoire du secteur électrique;
- Pour la Banque de Bruxelles (aujourd’hui ING), contribution à une exposition organisée lors du 125e anniversaire de l’entreprise, en 1996 (recherche de titres de sociétés, vitrine consacrée au secteur de la chimie…) ;
- Pour Tractebel (aujourd’hui GDF Suez), contribution à la réalisation d’une exposition dans le cadre du centième anniversaire de la société ;
- Pour BNP Paribas Fortis, montage d’une exposition consacrée à son histoire pendant la Première Guerre mondiale.
- Pour les Archives Générales du Royaume, montage d’une exposition intitulée « s.a. Congo n.v. – Images des entreprises belges au Congo »
Autres réalisations:
- Pour les Archives de la Ville de Bruxelles, les Archives de l’État et les éditions Racine, contribution au catalogue de l’exposition intitulée « Expo 58. Entre utopie et réalité »
- Pour la CMB, contribution au catalogue de l’exposition « CMB. Un siècle de Compagnie Maritime Belge, 1895-1995 »
- Pour le Musée Royal de l’Afrique Centrale, contribution au catalogue de l’exposition. « La mémoire du Congo. Le temps colonial »